Mot du curé
Père François Labbé
Au terme de ce Carême 2024, à la fin du mois, nous entendrons dans la liturgie des Rameaux, l’Ecriture nous indiquer deux chemins. Le premier relate l’entrée triomphale du Christ dans Jérusalem. Les foules en liesse acclament « celui qui vient au nom du Seigneur ». Puis quelques instants après, la liturgie nous relatera l’autre chemin, celui qui mènera à la crucifixion. Les foules, encore elles, déverseront leur haine, leur folie sur cet « homme, qui s’est proclamé roi ».
Deux chemins, deux jugements : un procès civil, et l’autre au nom de la Loi divine…
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Mes vœux de sainte année à Dieu, mon Père
Tout le monde se souhaite une bonne année, mais qui pensera à souhaiter une bonne année à Dieu ?
Prier, aimer, donner
Célébrer les sacrements, annoncer l’Évangile et se mettre au service de ses frères… Cela n’a pas de prix mais cela a un coût : rémunération des prêtres et des salariés en mission pour l’Église, entretien des bâtiments appartenant au diocèse, factures d’électricité ou de chauffage, etc. En plus des prières et des engagements de ses fidèles, clercs et laïcs, l’Église doit mobiliser des ressources pour financer ses postes de dépenses.
Pour cela, l’Église ne vit que grâce à votre générosité,
elle ne reçoit aucune subvention, ni de l’État ni du Vatican !